Le suicide, une solution trompeuse



Définition du dictionnaire Larousse pour le suicide : « Action de se donner volontairement la mort »

Vincent Van Gogh, rongé par l’angoisse et atteint de démence, se suicide dans un champ de blé à Auvers-sur-Oise, le 27 juillet 1890, en se tirant une balle en pleine poitrine, juste après avoir achevé son ultime tableau.
En 1939, Sigmund Freund, père de la psychanalyse décida de se supprimer, les douleurs de la maladie étant trop intense.
Il avait fait rire le monde entier, fait sourire des milliers d’enfants lorsque le célèbre clown Achille Zavatta se donna la mort en 1993.

Si ce faible échantillon de personnalités nous montre des exemples de suicide, combien d’inconnus passent tous les jours à l’acte, n’en pouvant plus de leurs vies.
Les statistiques Françaises sur le sujet font frémir : 11 000 personnes se donnent la mort par an, soit un peu plus de 30 par jour, une mort toutes les 50 min environs.
Encore pire, ce serait 160 000 individus qui tenteraient tous les ans de se suicider.

Le suicide est en France un sujet tabou, révélateurs selon différents spécialistes d’un mal être.
Ce tabou, dans la Bible, est levé ; elle en parle en effet sans rien cacher.

Les récits Bibliques nous relatent beaucoup de récit d’homme voulant se supprimer.
Le premier exemple à choisir est celui du roi Saül.
Saül est le premier roi d’Israël, roi qui commença son règne d’une manière admirable, puis qui allant de mauvais choix en mauvais choix, s’écarta du plan de Dieu, pour finalement rejeter Dieu dans sa vie.
Beaucoup de nos compatriotes aujourd’hui mettent fin à leurs jours suite à de mauvais choix, ne voit plus aucune solution pour leur avenir et mettent fin à leurs jours.

D’autres encore agissent de la sorte, car les épreuves de la vie, les souffrances semblent les accabler jusqu’à l’extrême.
La Bible nous parle de ce genre de personne, notamment un homme nommé Job.
Job était un homme qui avait réussi dans la vie, père d'une famille nombreuse quand l'épreuve va surgir.
En quelques jours, celui çi va tout perdre, absolument tout à telle point que son épouse lui conseillera le suicide !
Si la Bible nous montre que, dans son désarroi, il regretta le jour de sa naissance, il put finalement dire avec espérance :

“ Je sais que mon rédempteur est vivant, et qu’il se lèvera le dernier sur la Terre „  –  Job 19:25


Dans le Nouveau Testament, un chef de prison voit son pénitencier subir un tremblement de terre et toutes les cellules s’ouvrir, sa seule pensée et celle du suicide.
L’apôtre Paul lui dira alors :

“ Arrête ! Ne te fais pas de mal „  –  Actes 16:28


Pourquoi une telle réponse ? « À quoi bon ! » aurait pu se dire ce geôlier.
Jésus est celui qui peut tout changé : le geôlier découvrit avec stupeur qu’aucun prisonnier ne s’était échappé ; Job quant à lui fut béni par Dieu et retrouva tout ce qu’il avait perdu avant de vivre ces souffrances, et même bien au-delà !

Dieu veut que l’homme vive, Dieu veut lui communiquer une véritable espérance, une vraie raison de vivre qui surpasse toutes les autres.
Si les causes du suicide sont pour la plupart un environnement social défaillant, Jésus est celui qui n’abandonne jamais l’homme.
Le suicide est une ruse de Satan pour détruire la vie d’un homme mais le suicide est une fausse solution qui ne règle rien.
Le suicide ne libère pas des blessures de la vie, d’abus sexuels, de frustration, d’échec et d’amertume, des ravages de la drogue dans une vie…
La mort n’est pas un refuge, ni une bonne fuite.
Jésus se propose d’être la lumière qui éclaire les ténèbres de l’homme, d’offrir à tout homme, toute femme, la vraie guérison intérieure, une vraie délivrance, un vrai secours.

“ Incline vers moi ton oreille, hâte-toi de me secourir ! Sois pour moi un rocher protecteur, une forteresse, Où je trouve mon salut !
Car tu es mon rocher, ma forteresse. Et à cause de ton nom tu me conduiras, tu me dirigeras. Tu me feras sortir du filet qu’ils m’ont tendu. Car tu es mon protecteur
 „  –  Psaumes 31:2-4


Jésus-Christ est la réponse, et en lui seul nous trouverons la solution aux problèmes qui poussent en fin de compte une personne à mettre fin à sa vie avant que Dieu n’ait choisi de le faire.